Pour leur grande souffrance, ces enfants ne sont pas coordonnés et ont des difficultés à accomplir les tâches et activités de base normales de l’enfance. Ils ne vivent pas le monde comme la majorité des gens.
Sans une bonne conscience de l’état des muscles et de la position des articulations, les enfants auront une mauvaise planification motrice et une mauvaise conscience corporelle, comme des difficultés à comprendre l’espace personnel ou les limites lorsqu’ils jouent avec les autres. Sautes d’humeur, difficulté à dormir.
Mauvais mouvement de notation
C’estç dire qu’une pression est nécessaire pour qu’ils puissent accomplir une tâche. Mauvaise stabilité posturale comme se reposer la tête sur le bureau pendant le travail, faible tonus musculaire, incapable d’équilibrer sur un pied. Comportements de recherche sensorielle tels que tapoter ou secouer les pieds en position assise, mâcher, pousser ou frapper les autres, écrire trop fort.
Voici une vidéo qui montre le quotidien d’un enfant proprioceptif :
Les enfants atteints de dysfonction proprioceptive comme le trouble déficitaire de l’attention avec hyperactivité (TDAH) sont souvent pleins d’énergie, il leur est extrêmement difficile de se concentrer sur une activité pendant une période de temps prolongée. Ils peuvent facilement devenir frustrés, abandonner et perdre confiance en eux. Leurs luttes contre le dysfonctionnement proprioceptif se manifestent dans leur environnement d’apprentissage.
Comment améliorer nos sens proprioceptifs ?
« La pratique rend parfait » est une clé pour améliorer les sens proprioceptifs du corps. Les personnes souffrant de dysfonctionnement proprioceptif peuvent améliorer leur proprioception par un entraînement régulier. Les scientifiques ont montré que l’entraînement proprioceptif entraînait une amélioration moyenne des mouvements du corps de 52 % pour toutes les mesures de résultats. L’entraînement proprioceptif peut être globalement classé en 5 types de techniques.
Mouvement actif et entraînement à l’équilibre Ces types d’entraînement proprioceptif nécessitent que le patient bouge activement des membres, des segments de membres ou tout le corps. Un exemple courant d’exercice d’équilibre est l’utilisation d’une surface instable.